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REUSSIR SA VIE, C’EST ÊTRE SOLIDAIRE DE TOUT CE QUI VIT

RÉSUMÉ

Tous les humains veulent être heureux. Mais, combien acceptent l’idée que leur bonheur dépend d’eux-mêmes et de la nature de leurs pensées ? Seule une révolution des mentalités, faisant sa place à la dimension spirituelle de l’homme, peut limiter les agressions d’un matérialisme aveugle. L’Enseignement de Sa Sainteté le Seigneur HAMSAH MANARAH aide chacun de façon concrète, à surmonter les épreuves, à comprendre le sens de la vie, à évoluer et à développer sa joie de vivre. L’Aumisme propose des réponses constructives aux problèmes qui assaillent l’humanité. Le cheminement vers l’unité et la solidarité planétaires – fondement de l’Âge d’Or – est indispensable à un réenchantement progressif de la vie et du monde et à la conquête d’un bonheur durable pour tous les humains. L’humanité est aujourd’hui placée devant ses responsabilités. Chacun doit choisir librement et consciemment de se transformer lui-même. L’histoire démontre que rien de ce qui est imposé de l’extérieur ne peut être durable.

 

EXPOSÉ

Dans le prolongement de notre précédent Colloque relatif à « L’Evolution des Consciences » le thème du Colloque 2004 a été consacré aux moyens proposés par la Religion Aumiste pour « Réussir sa vie par la conquête du bonheur intérieur ».

À quoi servirait l’évolution des consciences à travers les vicissitudes de la vie, si elle ne devait aboutir à une vie plus consciente, plus épanouie et plus heureuse ?

 Au cours de cette dernière conférence nous aborderons les points suivants :

I – UNE RÉVOLUTION DES MENTALITÉS S’IMPOSE

II – LA NATURE SPIRITUELLE DE L’HOMME.

 III- FORMES DE BONHEUR PROPOSÉES PAR L’AUMISME.

 IV- IL NE PEUT Y AVOIR DE BONHEUR SANS SOLIDARITÉ AVEC TOUT CE QUI VIT.

I – UNE RÉVOLUTION DES MENTALITÉS S’IMPOSE

Tous les êtres humains aspirent au bonheur même s’il s’agit d’une notion qui reste individuelle et subjective. La multiplication des ouvrages et des sites internet consacrés au développement personnel et aux moyens de mobiliser les ressources individuelles pour épanouir la personnalité et conquérir le bonheur et la joie de vivre démontrent :

1°- Que nos contemporains s’interrogent sur le véritable sens de l’existence, sur la réussite et les moyens de conquérir le bonheur.

2°- Que les mentalités évoluent vers la recherche de valeurs et une quête de sens que dans un passé récent on aurait pu croire désuètes et révolues.

Même si une véritable prise de conscience reste encore marginale, il devient de plus en plus évi- dent qu’à eux seuls les biens de consommation et le confort matériel ne parviennent pas combler le vide intérieur éprouvé par bon nombre de nos contemporains. Ainsi, on peut voir des personnalités fortunées au faîte de la popularité et de la gloire, se suicider de désespoir. À l’inverse il existe des personnes modestes, rayonnantes de joie de vivre.

Sa Sainteté le Seigneur HAMSAH MANARAH fait remarquer que : « l’humanité a fait de gros progrès dans toutes les directions concernant la maîtrise du monde extérieur : mais au sujet de la conquête de l’univers intérieur la majorité des êtres ignorent l’abécédaire relatif à l’ascension des sommets de leur être ». (La Réintégration Divine par le Yoga p.142).

Le matérialisme a inauguré un monde désenchanté dans lequel les jeunes générations sont principalement formées sur le plan intellectuel et dans lequel le rendement et l’esprit de compétition sont érigés en dogme. Mais, le règne de l’égocentrisme et de son corollaire la séparativité « agresse le psychisme ». En effet, « Tout effet a une cause ; ce que l’homme sème, il le récolte ». (La Réintégration Divine par le Yoga p :124).

Selon les recommandations de Sa Sainteté le Seigneur HAMSAH MANARAH une formation humaine intégrale et équilibrée de l’être humain doit inclure une éducation spirituelle. L’éducation est capitale. De tous les êtres vivants, l’homme est la créature qui se trouve être la plus démunie à la naissance. Malgré ses riches potentialités latentes, l’être humain doit tout apprendre. Il doit apprendre : à marcher, à parler, etc. La spiritualité ne fait pas exception à cette règle. En l’absence d’une formation adaptée l’homme peut rester toute sa vie dans l’ignorance de ce qu’une authentique spiritualité apporte à l’épanouissement de la personnalité. Résultat : dans les sociétés occidentales, le vide laissé par DIEU est remplacé par des substituts : les dieux de la télévision, du rock, de la politique, des stades, etc. devenus les maîtres à penser et à se comporter des jeunes générations. Ces nouvelles idoles temporelles et éphémères sont l’objet d’un culte et d’une vénération quasi religieuses qui déchaînent les passions jusqu’à provoquer de véritables scènes d’hystérie collective au cours de rassemblements monstres. Dans les cas les plus dramatiques c’est dans l’usage des drogues, de l’alcool et de la violence gratuite, que les jeunes cherchent des dérivatifs et des compensations à leur vide et à leur mal-être intérieur. Par ailleurs, il devient de plus en plus évident qu’une vision purement scientifique et rationnelle du monde ne peut en aucun cas se substituer à une explication spirituelle de la vie.

Pour la religion Aumiste : « La science deviendra un phare de connaissance s’alliant avec la spirituelle intuition des Sages pour mieux guider la Terre sur la voie d’un avenir lumineux ». (Une Loi pour Détruire le Mal p. 423) Les témoignages légués par les mystiques des différentes traditions mènent à penser que la fascination exercée par une science matérialiste et le culte illusoire des idoles, n’équivaudront ja- mais à la plénitude apportée par la fusion avec le Moi-Suprême présent en chacun.

II- LA NATURE SPIRITUELLE DE L’HOMME

Comme l’enseigne Sa Sainteté le Seigneur HAMSAH MANARAH, l’être humain ne se réduit pas à « un assemblage de chair et d’os dans un sac de peau ». Si l’on place côte à côte le plus grand sage et le plus odieux criminel, leur constitution physique est identique. Leur antagonisme se situe au niveau de leur état d’esprit et de leur niveau de conscience qui déterminent leur comportement dans la vie. Comme l’ont expliqué les conférences sur le contrôle des émotions et la pensée positive, le bonheur ou le malheur de l’être humain sont essentiellement fonction de la nature des pensées, c’est-à-dire de l’état d’esprit entretenu dans le champ de la conscience.

Étant donné que la science ne pourra jamais décortiquer une conscience humaine sous un microscope, l’exploration de l’esprit humain restera longtemps le privilège de la spiritualité.

« Seule la conscience peut étudier la conscience ». Le rôle des religions et de la spiritualité est d’apporter des réponses concernant la face invisible de l’homme et du monde, le sens et le but de la vie, le sort qui nous attend après la mort. Des notions qui apportent un éclairage différent sur

 

la vie humaine. Ces valeurs morales, culturelles, spirituelles dont les sociétés ont besoin « sont nées historiquement dans les religions ». Les grandes civilisations et sociétés traditionnelles considéraient la spiritualité comme un phénomène naturel indissociable de la vie quotidienne. À l’aide des rites, le sacré devait préserver l’harmonie cosmique qui est source de vie.

Contrairement aux affirmations de certains contemporains, à l’activisme d’extrémistes antireligieux et de certains matérialistes, la véritable spiritualité n’est pas dangereuse pour la santé mentale des citoyens, les démocraties et la laïcité. La spiritualité authentique est enracinée dans l’homme, elle ne conduit pas à la mystification et à l’aliénation de l’individu. La religion n’est pas « l’opium du peuple ». Les idéologies matérialistes, les pressions économiques d’une mondialisation « sauvage » et d’une société de consommation envahissante, engendrent de nombreux drames humains. Pour compenser l’aspect négatif d’un matérialisme exacerbé, l’apport de la spiritualité est essentiel pour l’humanité.

 

III – FORMES DE BONHEUR PROPOSÉES PAR L’AUMISME,

Même si l’humain est soumis à un certain degré de déterminisme, de conditionnement et de patrimoine génétique, il n’existe pas pour autant de fatalité. L’homme est libre en essence, c’est l’attitude mentale adoptée au cours de la vie qui l’emprisonne (…) Entraînée par la Loi fondamentale de l’Évolution, l’humanité tend malgré elle, à se perfectionner. Cependant comme tout doit se mériter, le partage s’effectue entre ceux qui se laissent traîner et ceux qui prennent en main leur destinée » (La Réintégration Divine par le Yoga p. 302).

Selon le constat d’Erasme , « on ne naît pas homme, on le devient ».

Certains philosophes contemporains parlent de « l’humanisation du divin ». Le Seigneur HAMSAH MANARAH propose la divinisation de l’homme : « Deviens le Dieu que tu es en puissance » enseigne t-Il avec force.

Dans les Psaumes (PS.81 : 6) et dans l’Evangile de Saint Jean (Jean.10 : 34) le Christ affirme : «J’ai dit, vous êtes des dieux».

La Religion Aumiste considère que cette divinisation de l’homme est le but de la vie et permet d’atteindre le véritable bonheur. Cette divinisation de l’homme consiste à faire « l’Unité avec le Moi Suprême » présent en chacun. Placés au sommet de la Pyramide Évolutive, tous les humains sont des Dieux, des Christs, des Bouddhas en puissance. Il ne s’agit en aucun cas d’une prétention sacrilège et chimérique. Il s’agit de redonner la place qui lui revient, à l’Essence ultime de notre être. Mais, cette divinisation, de même que «les célestes friandises qui l’accompagnent», n’est pas accordée spontanément. Elle est le fruit de l’effort.

Comme le « Périple Initiatique » du Seigneur HAMSAH MANARAH le démontre, il faut œu- vrer avec détermination pour conquérir la Divinisation. Dans le cadre de cet exposé, il est impossible de faire le tour de cette vaste question. À titre d’exemple, nous donnerons un aperçu des propositions formulées par le Seigneur HAMSAH MANARAH pour accomplir sereinement cette souveraine métamorphose de la nature humaine.

Dans son livre La Réintégration Divine par le Yoga, Deviens le Dieu que tu es (p.167 à 208), Sa Sainteté le Seigneur HAMSAH MANARAH propose à l’aspirant au bonheur « Dix Sept Clefs » pour conquérir la Libération Spirituelle et la Réintégration Divine. Pour découvrir le véritable sens de la vie qui se cache derrière le voile illusoire du visible, nul n’est besoin de s’embarrasser de théologie ni d’une « représentation dogmatique de la divinité». Comme l’ont expliqué les conférences données au cours de ce Colloque, pratiquement nous devons :

– faire la police de nos pensées, entretenir les plus hautes aspirations, travailler à l’harmonie intérieure, tendre vers la plus haute sagesse,

– balayer les obstacles constitués par les pensées de peur, de crainte, d’angoisse, enfouies dans l’inconscient qui freinent notre évolution spirituelle,

– dissiper l’attrait immodéré du monde phénoménal qui alimente les illusions de notre petit moi égocentrique,

– éliminer les imperfections humaines et « les imprégnations négatives » qui altèrent et polluent notre personnalité,

– nous efforcer de nous conformer de plus en plus aux suggestions de la « Conscience Lumière » et du « Moi Suprême » éternellement libres qui résident au cœur de chaque être.

La Religion Aumiste et le Monastère de MANDAROM SHAMBHASALEM offrent aux âmes engagées sur la voie de la Libération Spirituelle un enseignement, une pratique et un cadre adaptés à leur démarche spirituelle. Le sage est celui qui sait être présent au monde tout en pratiquant la règle capitale du détachement lui permettant de vaincre l’affectivité, les tourments de la vie, de la naissance, de la vieillesse, de la maladie et de la mort. À partir d’un certain degré d’éveil « plus rien de négatif ne peut atteindre » le chercheur de vérité qui « s’installe dans la paix, le calme, la sérénité et le bonheur intérieur ». Cette Félicité du Sage n’empêche pas la compassion pour les souffrances du monde, ni la capacité de travailler sans contrainte extérieure à l’évolution spirituelle de l’humanité.

La Religion Aumiste invite chacun à exercer ses responsabilités dans le monde et à faire face avec réalisme, courage et détermination aux inévitables problèmes que pose la vie quotidienne. Nous retrouvons ici la sagesse soufie qui enseigne : « Vis pour ce monde comme si tu devais y vivre éternellement et pour l’au-delà comme si tu devais mourir demain ». Dans son grand respect de la personne humaine Sa Sainteté le Seigneur HAMSAH MANARAH n’impose rien. Il accorde à ceux qui s’engagent sur la voie de l’éveil une totale liberté de choix et la possibilité d’aller à leur rythme.

Pour concrétiser cette liberté de choix, au cours de ce Colloque nous avons schématiquement distingué deux grandes voies de Réalisation Spirituelle proposées par la Religion Aumiste.

– La première, pour tous ceux qui ont des responsabilités familiales, qui sont engagés dans la vie sociale et professionnelle tout en poursuivant leur ascension spirituelle.

– La seconde est la voie monastique. Elle s’adresse aux héros de la spiritualité capables de renoncer au monde sur les pas du Messie, de se consacrer à la divinisation accélérée de leur être et à l’aide de l’humanité. Mais la forme de travail à effectuer sur soi-même et le but à atteindre restent les mêmes : maîtrise des émotions, des pensées, pratique assidue des méditations, des ascèses et des exercices spirituels.

 

IV– IL NE PEUT Y AVOIR DE BONHEUR SANS SOLIDARITÉ AVEC TOUT CE QUI VIT.

S’engager sur la voie de la Libération Spirituelle pour devenir le Dieu que chacun de nous est en puissance conduit à une inévitable prise de conscience de l’Unité et de la Solidarité avec le Tout, perçue et vécue comme une réalité.

Si certaines religions évoquent la « communion des Saints », l’Aumisme élargit cette notion en mettant l’accent sur l’étroite unité qui existe entre l’humanité, la nature et l’ensemble de la Création. Ce principe fondamental est illustré par le symbole Aumiste de la Pyramide Évolutive des Règnes de la Nature.

L’Unité préconisée par la Religion Aumiste ne signifie en aucun cas l’uniformité. Il s’agit d’une Unité dans la complémentarité entre les divers composants de l’Univers. Pour la Religion Aumiste, l’Univers est comparable à un vaste corps dans lequel les êtres vivants et les divers composants de la Création inter-réagissent les uns avec les autres pour constituer un Tout. Cette notion de l’Univers perçu comme un être vivant n’est pas fortuite ou arbitraire. Elle correspond à la plus haute Tradition qui considère le corps de l’homme comme le microcosme semblable à l’univers, au macrocosme ou au Purusha de la Tradition Orientale. De là l’injonction du « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux » gravée sur le fronton du Temple de Delphes. De là aussi les enseignements de la Table d’Émeraude d’Hermès Trismégiste qui proclame : « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut (…) pour faire le miracle d’une seule chose». Pour assurer un fonctionnement harmonieux de la totalité, chaque élément de cet ensemble doit respecter les Lois de la Vie. De cette harmonie émergent l’intelligence, la conscience d’être et la joie de vivre.

Chaque être humain doit par conséquent se considérer comme un acteur responsable de la Nature et de l’Univers. La véritable mondialisation, ne doit pas se limiter à la disparition utile des frontières, ni à la facilité des transactions et des échanges économiques et commerciaux. Elle doit également inclure le respect et les devoirs à l’égard d’autrui et de l’environnement, de même que la juste répartition des biens et des richesses.

Le cheminement vers l’unité planétaire et universelle, que l’Aumisme désigne sous le terme « d’Âge d’Or », se traduit par un « ré-enchantement » progressif de la vie et du monde. En l’absence de cette révolution pacifique des mentalités il ne peut y avoir de véritable joie de vivre et de bonheur durables sur la Terre. Pour conquérir cette mentalité d’Âge d’Or, le secret consiste à dépasser le Moi personnel et fini pour accéder au Moi Suprême, impersonnel et infini. L’humanité est porteuse d’une lourde responsabilité.

Une rupture avec les Lois de la Vie et du Cosmos, un comportement égoïste uniquement centré sur les intérêts personnels, un manque de compassion et de respect à l’égard d’autrui et de la nature, engendrent des troubles qui perturbent gravement l’harmonie cosmique et planétaire pouvant conduire à une issue fatale.

Comme le rappelle le Seigneur HAMSAH MANARAH : « Toute espèce qui détruit son environnement se détruit elle-même ».

 

En conclusion :

Pour accéder à un bonheur durable la première règle de sagesse à observer est de vivre l’instant présent selon la formule « ici et maintenant ».

Pour établir une société d’Âge d’Or, fondée sur la joie de vivre et le bonheur, une révolution des mentalités s’impose. Le bonheur, le progrès et le bien-être de l’humanité dépendent de l’état d’esprit et du comportement de chaque individu. Pour sauver le monde du désarroi et du malheur il faut en priorité se transformer soi-même en pratiquant une saine écologie individuelle. Cette résolution doit être consciemment et librement acceptée, tout autre méthode serait illusoire. L’histoire démontre que rien de ce qui est imposé de l’extérieur par la force ne peut être durable.

Sa Sainteté le Seigneur HAMSAH MANARAH nous dit:

“C’est à une prise de conscience planétaire qu’il faut parvenir, tant au niveau de l’environnement qu’au niveau des excès de la science qu’il faut savoir canaliser vers une haute aspiration morale et unitiste”.  (Une Loi pour Détruire le Mal p.197)

« LE SORT DU MONDE EST ENTRE VOS MAINS »  (Une Loi pour Détruire le Mal p. 279)

Bibliographie :

– Les 22 livres de Sa Sainteté le Seigneur HAMSAH MANARAH, Ed. du MANDAROM,

  • Dieu des fourmis, Dieu des étoiles. Rèmy CHAUVIN France Loisirs Sept.1989.
  • L’Homme-Dieu, ou le sens de la vie Luc FERRY Ed. Grasset 1996
  • Qu’est-ce qu’une vie réussie. Luc FERRY Grasset Nov. 2002
  • Dieu ? Albert JACQUARD Stock/Bayard Janv. 2003
  • Vers une écologie Question de N°127. Ed. Albin Michel, Avril 2002
  • Qu’est-ce que la religion, La transcendance des Shmuel TRIGANO, Ed. Flamarion Oct. 2001
  • Mystères au cœur de la science , Jean MOISSET ,Ed : JMC Collection Pleinitude, Mai
  • A-t-on encore besoin d’une religion ?, André COMTE-SPONVILLE, Bernard FEILLET, Alain RÉMOND, de L’Atelier, Septembre 2003
  • Pourquoi « Dieu » ne disparaîtra jamais A . NEWBERG, E. d’AQUILI, V. PAUSE, Ed Sully Sept. 2003.